Objectifs de pré-entraînement en IA générative : modélisation masquée, prédiction du prochain token et débruitage

Objectifs de pré-entraînement en IA générative : modélisation masquée, prédiction du prochain token et débruitage

Renee Serda juil.. 8 5

Comment les modèles d’IA générative apprennent avant de faire quoi que ce soit

Vous avez peut-être entendu parler de GPT, de BERT ou de Stable Diffusion. Mais savez-vous comment ils ont appris à écrire, comprendre ou créer des images avant même d’être utilisés ? Ce n’est pas magique. C’est de la pré-entraînement. Et derrière chaque grand modèle, il y a une méthode spécifique pour lui apprendre à comprendre les données sans étiquettes. Trois approches dominent : la modélisation masquée, la prédiction du prochain token et le débruitage. Chacune a ses forces, ses faiblesses, et son domaine d’application. Et elles ne sont pas interchangeables.

Modélisation masquée : comprendre le contexte de part et d’autre

Imaginons une phrase : "Le chat mange la souris." Maintenant, masquez un mot : "Le chat ___ la souris." Quel mot manque ? C’est ce que fait la modélisation masquée. Google l’a popularisée avec BERT en 2018. Au lieu de lire la phrase d’un seul côté, comme un humain qui lit de gauche à droite, BERT regarde de part et d’autre du mot caché. C’est comme si vous essayiez de deviner un mot en voyant tout ce qui l’entoure - avant et après.

Techniquement, on prend 15 % des mots d’un texte, on les remplace au hasard. 80 % du temps, on les remplace par un token spécial [MASK]. 10 % par un mot aléatoire. 10 % on les laisse tels quels. Le modèle doit alors prédire le mot original. Ce processus l’oblige à construire une compréhension profonde du contexte. Résultat ? BERT atteint 88,5 % de précision sur des questions de compréhension comme SQuAD 2.0. Il excelle à reconnaître les noms propres, les entités, les relations entre les idées.

Mais il y a un piège : il ne sait pas générer du texte naturellement. Si vous le forcez à produire un récit, il va se répéter, sauter des idées, ou inventer des faits. Il est fait pour comprendre, pas pour écrire. C’est pourquoi Google l’utilise dans son moteur de recherche MUM - pour saisir l’intention derrière une requête, pas pour la répondre comme un humain.

Prédiction du prochain token : écrire comme un humain, mot après mot

Et si, au lieu de deviner un mot caché, vous deviez dire le mot suivant ? C’est exactement ce que font les modèles comme GPT. Ils ne regardent pas en arrière. Ils ne voient que ce qui est déjà écrit. "Le chat mange" → quel mot vient après ? "la". "Le chat mange la" → "souris". Et ainsi de suite, mot par mot, jusqu’à ce que le texte soit complet.

Cette méthode, appelée prédiction causale, est la base de GPT-3, GPT-4, et de la plupart des chatbots modernes. Elle est simple, mais puissante. GPT-3, avec ses 175 milliards de paramètres, atteint 76,2 % de précision sur des tests de raisonnement comme SuperGLUE. Et ce qui fait sa force, c’est la fluidité. GPT-4 obtient 85,2 % de notes d’humanité dans les tests de Turing - les gens ne savent plus s’ils parlent à une machine ou à un humain.

Le problème ? Il ne comprend pas vraiment le contexte global. Il ne voit que ce qui précède. Si vous lui donnez un long texte, les erreurs s’accumulent. Après 500 mots, sa précision chute de 37 %. Et il ne sait pas réviser. Il écrit, mais il ne réfléchit pas. C’est pourquoi les entreprises l’utilisent pour les chatbots, les résumés ou les réponses automatiques - des tâches où la cohérence à court terme suffit. Il représente 78 % des modèles d’IA utilisés en entreprise, selon Gartner en 2024.

Écrivain observe des mots flottants qui prédisent la suite d'une phrase, avec des erreurs visuelles apparaissant au fur et à mesure.

Débruitage : créer des images en effaçant le bruit

Et si pour créer une image, vous commenciez par du bruit blanc - comme un écran de télévision sans chaîne - puis que vous appreniez à effacer progressivement ce bruit pour révéler un visage, un paysage, un chat en costume de pirate ? C’est ce que fait le débruitage. Il a été introduit en 2020 par Ho, Jain et Abbeel, et il a révolutionné l’IA générative d’images.

Le modèle ne génère pas directement une image. Il apprend à inverser un processus de dégradation : on ajoute du bruit gaussien à une image, étape par étape, jusqu’à ce qu’elle devienne un champ aléatoire de pixels. Ensuite, on lui apprend à revenir en arrière - à enlever le bruit, un peu à la fois, jusqu’à retrouver l’image d’origine. C’est comme apprendre à dessiner en effaçant des erreurs, pas en ajoutant des traits.

Stable Diffusion, basé sur cette méthode, atteint un score FID de 1,79 sur CIFAR-10 - une mesure de qualité d’image. Et il est devenu le standard : 92 % des outils de génération d’images utilisent aujourd’hui le débruitage, selon Statista. Il produit des détails fins, des textures réalistes, des ombres naturelles. Mais il a un coût : il faut 1 000 étapes pour générer une image. Sur un GPU A100, cela prend 2,5 secondes - lent comparé à un GAN, mais bien plus stable.

Les limites ? Il est gourmand en mémoire. Pour générer une image 1024x1024, il faut 24 Go de VRAM. Et il ne sait pas bien insérer du texte dans les images - un problème récurrent sur Reddit et Hacker News. Mais il excelle dans la création artistique, scientifique, ou médicale. Les chercheurs rapportent 89 % de satisfaction pour la génération d’images de cellules ou de protéines, contre 76 % avec les GANs.

Comparaison directe : qui fait quoi, et pourquoi

Comparaison des objectifs de pré-entraînement
Objectif Modèles typiques Meilleur pour Limites principales Exigences en calcul
Modélisation masquée BERT, RoBERTa, DeBERTa Compréhension, extraction d’information, recherche Ne génère pas de texte naturel 3-5 semaines sur 128 V100 (base)
Prédiction du prochain token GPT-3, GPT-4, Llama 3 Génération de texte, chatbots, résumés Erreur cumulative, pas de contexte bidirectionnel 1,5 million d’heures sur V100 (GPT-3)
Débruitage Stable Diffusion, DALL-E 2, DDPM Génération d’images, art, design Lent, gourmand en mémoire, mauvais avec le texte 15-30 jours sur 64 A100 (haute résolution)

Chaque méthode a son rôle. La modélisation masquée est l’expert de la compréhension. La prédiction du prochain token est le roi de la production de texte. Le débruitage est le maître de la créativité visuelle. Et aucune ne peut remplacer les autres.

Un chat en costume de pirate émerge progressivement d'un nuage de bruit blanc, dépeint dans un style anime délicat et onirique.

Les nouvelles tendances : vers un mélange d’objectifs

Les chercheurs ne veulent plus choisir. Ils veulent tout avoir. En décembre 2024, Google a lancé Gemini 2.0, un modèle qui combine la modélisation masquée et la prédiction du prochain token. Il atteint 90,1 % sur MMLU - un benchmark de compréhension générale - et dépasse les modèles purs de 5,7 points. Meta, avec Llama 3, a introduit un masquage dynamique : le taux de masquage change pendant l’entraînement, ce qui accélère la convergence de 22 %.

Et puis il y a le débruitage. En février 2025, Stability AI a réduit les étapes de débruitage de 1 000 à 4, en utilisant une technique appelée "flow matching". C’est comme passer d’un voyage en train à un vol direct. Le résultat ? Des images de qualité identique, en un quart de temps.

La tendance ? La convergence. 67 % des chercheurs interrogés par MIT Technology Review en janvier 2025 pensent que les modèles hybrides domineront d’ici 2027. Mais les experts ne pensent pas que les méthodes pures disparaîtront. Pourquoi ? Parce que certains besoins restent spécifiques. Vous ne voulez pas utiliser un modèle de débruitage pour extraire les noms des entreprises d’un contrat. Et vous ne voulez pas utiliser un modèle de prédiction pour générer une image d’un tissu cellulaire.

Quel avenir pour ces méthodes ?

Le marché de l’IA générative vaut 28,7 milliards de dollars en 2024. Et la plupart de cet argent vient de ces trois méthodes. Les entreprises les adoptent selon leurs besoins : 63 % utilisent la prédiction du prochain token pour le service client, 28 % la modélisation masquée pour la recherche et l’analyse, et 9 % le débruitage pour la création.

Les défis restent nombreux. Le débruitage est encore trop lent pour les vidéos. La prédiction du prochain token ne comprend pas ce qu’elle écrit - elle reproduit des motifs statistiques. Et la modélisation masquée, bien qu’efficace, est limitée par sa capacité à générer du contenu long. Des chercheurs comme Emily Bender disent que la prédiction du prochain token ne crée pas de compréhension, seulement de la simulation. Anima Anandkumar souligne que le masquage aléatoire crée des distributions d’entraînement irréalistes.

Malgré tout, les progrès sont rapides. Les modèles deviennent plus efficaces, plus petits, plus rapides. Et les frameworks comme Hugging Face permettent à n’importe qui de tester ces méthodes sans avoir besoin d’un supercalculateur. En 2025, vous pouvez entraîner un petit modèle de débruitage sur votre ordinateur portable. Vous pouvez fine-tuner BERT pour extraire des dates d’un document. Vous pouvez faire parler un GPT miniature sur votre site web.

Comment choisir la bonne méthode ?

Si vous voulez :

  • Comprendre du texte - extraire des informations, répondre à des questions, analyser des contrats - choisissez la modélisation masquée.
  • Générer du texte naturel - chatbot, rédaction, résumé - choisissez la prédiction du prochain token.
  • Créer des images, des illustrations, des designs - choisissez le débruitage.

Ne cherchez pas un "meilleur" modèle. Cherchez le bon outil pour la bonne tâche. Et si vous avez les ressources, testez une approche hybride. C’est là que l’avenir se construit.

La modélisation masquée peut-elle générer du texte comme GPT ?

Non, pas directement. La modélisation masquée est conçue pour comprendre le contexte, pas pour produire du texte fluide. Si vous essayez de l’utiliser pour générer des récits, vous obtiendrez des phrases incohérentes, des répétitions ou des hallucinations. Pour générer du texte, il faut une architecture causale - comme celle de GPT. Certains modèles hybrides, comme Gemini 2.0, combinent les deux, mais un BERT pur ne peut pas écrire comme un humain.

Pourquoi le débruitage prend-il autant de temps ?

Parce qu’il ne génère pas l’image en une seule étape. Il part d’un bruit aléatoire et l’améliore progressivement, étape par étape - souvent 50 à 1 000 fois. Chaque étape demande un calcul complet du modèle. C’est comme peindre un tableau en ajoutant une couche à la fois, et en effaçant les erreurs à chaque fois. Les nouvelles versions, comme Stable Diffusion 3, réduisent ce nombre à 4 étapes, mais cela reste plus lent qu’un GAN, qui génère l’image en une seule passe.

Quelle méthode est la plus utilisée en entreprise ?

La prédiction du prochain token, sans conteste. Elle alimente 78 % des modèles d’IA utilisés en entreprise, selon Gartner en 2024. Pourquoi ? Parce qu’elle est idéale pour les applications courantes : chatbots, réponses automatiques, résumés de courriels, génération de rapports. Elle est aussi la plus facile à intégrer dans des systèmes existants. Les modèles comme GPT-4 et Llama 3 sont devenus des outils de productivité standard.

Le débruitage est-il meilleur que les GANs pour les images ?

Oui, dans la plupart des cas. Les GANs produisent des images rapides, mais souvent floues, avec des artefacts ou des textures irréalistes. Le débruitage, lui, crée des détails plus fins, des ombres plus naturelles, et des compositions plus cohérentes. Les utilisateurs donnent en moyenne 72,1 % de préférence aux images générées par débruitage, contre 63,4 % pour les GANs. C’est pourquoi les outils comme Stable Diffusion ont presque entièrement remplacé les GANs dans la création artistique.

Faut-il encore apprendre ces méthodes en 2025 ?

Absolument. Même si les outils deviennent plus simples, comprendre ces objectifs vous permet de choisir le bon modèle, de diagnostiquer les problèmes, et de savoir pourquoi un résultat est mauvais. Par exemple, si votre chatbot répète la même phrase, c’est probablement un problème de prédiction causale. Si votre image est floue, c’est peut-être un problème de débruitage mal configuré. Connaître les fondements, c’est savoir ce que vous utilisez - et ne pas être piégé par les promesses marketing.

Commentaires (5)
  • Viviane Gervasio
    Viviane Gervasio 10 déc. 2025
    C'est juste une couverture pour contrôler nos pensées. La modélisation masquée ? Bah non, c'est un système de censure algorithmique. Ils masquent les mots 'liberté' et 'révolte' dans les textes, et ils disent que c'est pour 'comprendre le contexte'. RIRE. Je vous le dis, ils préparent le terrain pour la pensée unique. BERT ne comprend pas, il réprime.

    Et le débruitage ? C'est pas pour créer des images, c'est pour effacer les traces de la vérité. Chaque étape de débruitage, c'est une couche de mensonge qu'ils retirent... jusqu'à ce qu'on voie seulement ce qu'ils veulent qu'on voie.

    Stable Diffusion ? Un outil de propagande visuelle. Vous croyez que les chats en costume de pirate sont innocents ? Attendez qu'ils génèrent des 'images de cellules'... et qu'on vous dise que c'est 'scientifique'.

    Je vous préviens : Gemini 2.0, c'est pas un progrès, c'est le moment où ils fusionnent les trois méthodes pour créer un seul cerveau artificiel qui contrôle tout. Et vous, vous applaudissez.
  • Helene Larkin
    Helene Larkin 10 déc. 2025
    Bon, je vais être sérieuse un instant. La modélisation masquée est effectivement très efficace pour la compréhension contextuelle, mais ce qu'on oublie, c'est que BERT ne sait pas gérer les ambigüités pragmatiques. Par exemple, 'Je vais voir le médecin' vs 'Je vais voir le médecin' - même phrase, deux sens selon le ton. BERT ne capte pas ça.

    La prédiction du prochain token, elle, est une machine à halluciner avec style. GPT-4 ne 'comprend' pas qu'il répète, il prédit la suite la plus probable - et si la probabilité est une répétition, il la donne. C'est pas de la créativité, c'est du miroir brisé.

    Et le débruitage ? Il est lent parce qu'il simule un processus physique. Mais la vraie limite, c'est qu'il ne sait pas ce qu'est un 'objet'. Il voit des pixels, pas des chaises ou des arbres. Il ne sait pas qu'une chaise sert à s'asseoir. Il ne sait que les textures. C'est un artiste qui ne sait pas ce qu'il peint.
  • Antoine Grattepanche
    Antoine Grattepanche 11 déc. 2025
    Ah oui, bien sûr, on va tous croire que BERT est un génie de la compréhension… pendant que GPT-4 écrit des lettres de motivation pour des nuls qui n’ont même pas su faire un CV.

    Le débruitage, c’est la seule méthode qui a l’humilité de commencer par du bruit. Pas de prétention. Pas de 'je comprends tout'. Juste : 'je commence de zéro, et je me débrouille'.

    Et vous, vous êtes là à comparer des scores FID comme si c’était des classements de foot. C’est pas un jeu, c’est de la science.

    Je veux bien croire que les hybrides sont l’avenir… mais si on continue à les former sur des données de Reddit et de Wikipedia, on va juste avoir des IA qui pensent que le monde est un troll de 14 ans avec un accent québécois.

    Et puis, 24 Go de VRAM pour une image ? J’ai un vieux MacBook Air qui fait plus de choses en 2025 que votre A100. Vous êtes sérieux ?
  • laetitia betton
    laetitia betton 11 déc. 2025
    L’analyse est rigoureuse, mais elle néglige un point fondamental : les objectifs de pré-entraînement ne sont pas des méthodes isolées, mais des distributions d’objectifs d’optimisation qui reflètent des hypothèses épistémologiques sous-jacentes. La modélisation masquée repose sur une hypothèse de symétrie contextuelle, la prédiction causale sur une hypothèse de Markovien temporel, et le débruitage sur une hypothèse de processus stochastique inversible.

    La convergence observée dans Gemini 2.0 et Llama 3 n’est pas une simple combinaison technique - c’est une rupture paradigmatique : on passe d’un modèle de représentation à un modèle de génération intégrée.

    La question n’est plus 'quelle méthode choisir ?', mais 'quelle ontologie du langage et de la vision veut-on implémenter ?'. Le coût computationnel est secondaire par rapport à la structure cognitive qu’on encode.

    Et oui, le débruitage est gourmand - mais c’est parce qu’il modélise la réalité comme un processus d’émergence, pas comme une fonction de mapping. C’est philosophiquement plus profond.

    On ne peut pas évaluer ça avec des benchmarks. Il faut une herméneutique de l’IA.
  • Therese Sandfeldt
    Therese Sandfeldt 13 déc. 2025
    Je trouve ça super intéressant 😊 et j’adore comment tu as expliqué tout ça en restant simple ! J’ai juste une petite question… mais non, je vais pas la poser, parce que je vois que tout le monde est déjà super bien informé ! 🙌

    Je vais juste dire merci pour ce post - j’ai appris plein de trucs en 10 minutes, et j’ai même compris pourquoi mon chatbot me répond toujours 'Je ne suis pas sûr' quand je lui demande ce qu’il pense de la pluie 🌧️❤️

    On dirait que les IA sont comme les humains : certaines sont bonnes pour écouter, d’autres pour parler, et d’autres pour dessiner… et on a juste besoin de les utiliser au bon moment !
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