Checklists pour l'évaluation de l'IA : outils concrets pour éviter les erreurs coûteuses
Quand vous déployez une évaluation de l'IA, un processus systématique pour mesurer la performance, la sécurité et l'équité des modèles d'intelligence artificielle. Also known as audit IA, it est la différence entre un modèle qui fonctionne en démo et un qui ne casse pas tout en production. La plupart des équipes pensent que le benchmarking, c’est juste lancer un modèle sur un jeu de tests. C’est faux. Ce qui compte, c’est ce que vous vérifiez avant de le lancer. Et pour ça, les checklists sont votre meilleur allié.
Une bonne checklist n’est pas une liste de mots. C’est un mécanisme de sécurité. Elle vous force à poser les bonnes questions : Qui est responsable de ce code généré par l’IA ? Est-ce que les données d’entraînement sont équilibrées pour les langues peu parlées ? Vos tests de régression couvrent-ils les failles de sécurité introduites par une refactorisation ? Ces questions ne viennent pas de l’inspiration — elles viennent de l’expérience. Des équipes comme OpenAI, Google et Meta les utilisent en interne. Vous aussi, vous pouvez les adopter. Et elles ne sont pas réservées aux ingénieurs. Les product managers, les juristes, les équipes de vente — tous ceux qui dépendent de l’IA — ont besoin de ces outils pour ne pas se retrouver avec un modèle qui ment, qui biaise, ou qui fuit des données.
Les audits IA, des vérifications structurées pour s’assurer que les systèmes d’IA respectent des normes de fiabilité et d’éthique ne sont pas des exercices théoriques. Ils sont basés sur des actions concrètes : vérifier la traçabilité des prompts, valider les SLA avec les fournisseurs, s’assurer que chaque module de code a un propriétaire. Et les gouvernance du code, l’ensemble des pratiques qui garantissent que le code généré par l’IA est maintenable, sécurisé et responsable, c’est pareil. Vous ne pouvez pas dire « on fait confiance à l’IA » si personne ne sait qui a écrit la dernière ligne de code. La gouvernance, ce n’est pas ralentir. C’est éviter les pannes coûteuses.
Les checklists que vous trouverez ici ne sont pas des idées générales. Elles viennent directement des posts de cette communauté : comment éviter les modules orphelins, comment tester la sécurité après une régénération par l’IA, comment équilibrer les données pour les modèles multilingues, comment écrire des prompts sans ambiguïté. Ce sont des listes que des ingénieurs ont testées, cassées, puis réécrites. Elles ne parlent pas de théorie. Elles parlent de ce qui a marché — et de ce qui a fait sauter des déploiements.
Vous n’avez pas besoin d’être un expert pour utiliser une checklist. Vous avez juste besoin d’être rigoureux. Et si vous ne savez pas par où commencer, commencez par celle qui vous fait peur le plus : celle qui vérifie si votre IA peut mentir. Parce que c’est là que tout se casse. Et c’est là que les checklists sauvent les équipes.